La singularité remarquable du site, ancienne carrière à ciel ouvert, nous conduit à revisiter l’immobilier classique, pour proposer une forme atypique qui se réfère à la nature plutôt qu’à l’architecture ; où se reconstitue le génie d’un lieu. Une métaphore de la montagne avec ses failles, ses plissements, ses strates, qui s’inspirent de nos massifs calcaires - Bauges, Chartreuse, Vercors ou même Dolomites - empruntant à ces reliefs leur vocabulaire : « bocchette », vires, sangles qui sont autant d’espaces végétalisés qui escaladent la construction, transforment l’édifice en une sorte de ziggurat. Les volumes sont resserrés en une cascade de quatre blocs de trois étages, successivement amincis et décalés dans l’épaisseur du bâtiment. Sur toute la longueur du bâtiment, ces volumes glissent et s’échelonnent successivement d’un segment à l’autre, scandés par les deux fentes verticales vitrées abritant les circulations verticales. Au sol, tels les éboulis au pied du Granier, ce rocher vert est accompagné par des terrasses, des restanques, des faysses ardéchoises. La partie supérieure, émerge de la pente sans dépasser l’horizon du plateau et regarde vers le grand paysage : les Bauges et le Revard, Belledonne, le Granier, la Chartreuse, le massif de l’Epine et la dent du Chat et enfin, last but not least, le lac du Bourget.
Safilaf
74 logements en accession libre
RT 2012 -20% compatibilité B’EEAU LAC
Macary Page mandataire
Lylo.Perreau + Agence Macary Page
La singularité remarquable du site, ancienne carrière à ciel ouvert, nous conduit à revisiter l’immobilier classique, pour proposer une forme atypique qui se réfère à la nature plutôt qu’à l’architecture ; où se reconstitue le génie d’un lieu. Une métaphore de la montagne avec ses failles, ses plissements, ses strates, qui s’inspirent de nos massifs calcaires - Bauges, Chartreuse, Vercors ou même Dolomites - empruntant à ces reliefs leur vocabulaire : « bocchette », vires, sangles qui sont autant d’espaces végétalisés qui escaladent la construction, transforment l’édifice en une sorte de ziggurat. Les volumes sont resserrés en une cascade de quatre blocs de trois étages, successivement amincis et décalés dans l’épaisseur du bâtiment. Sur toute la longueur du bâtiment, ces volumes glissent et s’échelonnent successivement d’un segment à l’autre, scandés par les deux fentes verticales vitrées abritant les circulations verticales. Au sol, tels les éboulis au pied du Granier, ce rocher vert est accompagné par des terrasses, des restanques, des faysses ardéchoises. La partie supérieure, émerge de la pente sans dépasser l’horizon du plateau et regarde vers le grand paysage : les Bauges et le Revard, Belledonne, le Granier, la Chartreuse, le massif de l’Epine et la dent du Chat et enfin, last but not least, le lac du Bourget.